Michel Part À L’Armée, 2Ème Partie

Le premier soir en rentrant de la boite on a beaucoup discuté avec Martin, juste en lui racontant ce que j’ai vécu et les sensations que j’ai ressenti je m’excite tout seul. J’ai très envie mais je n’ose pas me masturber parce que nous dormons cote à cote.
Le lendemain pendant le petit déjeuner on refait un petit débriefing de la veille et j’accepte d’y retourner le soir même. Je me sens beaucoup plus à l’aise mais derrière le rideau je ne reste qu’au stade de la branlette. Avec 4 moments isolé dans la soirée je me suis fait presque 45 francs.

Quand nous rentrons au studio et que nous nous déshabillons, je remarque que Martin à garder sa petite culotte en dentelle sous ses habits de garçon. Je suis excité de le voir avec cette dentelle rouge qui lui recouvre l’entrejambe mais je le suis encore plus en imaginant ce tissu sur moi. Quand il se déshabille pour aller se doucher je me dépêche d’essayer la culotte qu’il a laisser trainer à côté du matelas.
Je m’admire dans le miroir et je bande tellement que la dentelle est déformée malgré mon petit zizi tout dur. Je continue de me regarder uniquement avec ce petit morceau de tissu rouge quand j’entends Martin me dire
« Ca te va très bien, si tu veux demain on va t’en acheter ».
Je rougis immédiatement et me retourne. Il est entièrement nu, quelques gouttes continue de perler sur son corps, lui aussi bande mais sa bite doit être au moins 2 fois plus grande que la mienne.

Je reste un moment quoi mais pour couper court à ma gêne je dis que je vais vite me doucher, j’att un caleçon dans mon sac et je file à la salle de bain. Je reviens en portant uniquement mon caleçon, je m’allonge à côté de lui sur le matelas et je lui dis que je veux bien que l’on aille faire du shopping le lendemain.
Il se tourne vers moi me caresse la hanche et me répond qu’il est content surtout qu’on fait la même taille et donc on va pouvoir faire des échanges.
Il continue à me caresser avec sa main qu’il passe maintenant sur ma cuisse, sa main effleure à peine mon sexe et mes couilles, à travers le tissu, mais l’effet est immédiatement visible.

Il enlève mon caleçon, ma respiration est de plus en plus forte surtout que maintenant ses doigts me touchent sans honte, avec sa main de libre il retire le drap, même si la lumière est éteinte j’essaye de le retenir mais en vain. Il vient se placer entre mes jambes et me dit:
« Tu n’as aucune honte à avoir, ton sexe est très beau et appétissant » puis il commence à me lécher les couilles tout en continuant à me caresser les cuisses et l’entrejambe. Puis sa langue remonte le long de mon zizi et vient se glisser entre mon gland et mon prépuce alors que sa main à remplacer sa bouche au niveau de mes testicules.

J’ai du mal à retenir mes gémissement surtout que maintenant qu’il m’a décalotté, mon costume trois pièces est entièrement dans sa bouche et que sa langue et ses dents joue avec ma petite tige et mes couilles. Je ne tarde pas à me vider dans sa bouche et une fois que je ne suis plus entre ses lèvres je l’entends avaler mon jus. Il remonte le long de mon corps et quand nos visages sont à la même hauteur, Martin colle ses lèvres aux miennes. C’est la première fois que ma bouche joue avec celle de quelqu’un d’autre qui a le gout de mon sperme, en plus il appuies bien son bassin contre le mien pour me faire sentir sa grosse queue tendue.

J’ai très envie de lui rendre la faveur alors je le fais mettre à son tour sur le dos et me glisse entre ses cuisses. Je me retrouve directement face à sa bite toute raide et nervurée, je commence à la caresser. Plusieurs fois j’ouvre la bouche dans l’intention de le lécher mais je n’ose pas. Pourtant je l’ai déjà fait avec mon professeur de mathématique mais la je n’ose pas. Mes doigts se focalisent sur son gland et son frein, régulièrement je lèche mes doigts et la pomme de ma main pour lui donner le plus de plaisir possible.
Mais ça à l’air de lui faire pas mal d’effet quand même parce qu’au bout de 10 minutes il se met à éjaculer dans ma main. Ses deux premiers jets montent très haut et s’écrasent sur mon dos et mon crâne.
Les suivants s’étalent sur mon visage et autour de sa queue. Du bout de ma langue je lèche son méat pour gouter aux dernières gouttes qui perlent et ce n’est qu’une fois qu’il commence à ramollir que j’ose enfin le prendre en bouche et le sucer. en même temps je récolte tout le sperme qui est sur lui et sur moi pour le déguster. Nous nous endormons alors que je suis toujours entre ses jambes et la tête sur ventre.

Le lendemain c’est son érection matinale qui me réveille. J’ai trop honte de ce que nous avons fait la veille, c’est mon seul ami à l’armée et je ne veux pas le perdre. Je me lève rapidement et je vais à la salle de bain pour enlever le reste de l’odeur de sperme que j’ai sur moi et m’habiller. Quand je ressort il ne porte que la culotte en dentelle rouge et prépare le petit déjeuner.
Une fois qu’il est prêt nous sortons acheter du ravitaillement pour le reste du séjour et avec l’argent qu’il nous reste nous partons faire les bonneteries du quartier à la recherche de nouveaux sous vêtements pour moi mais aussi pour lui. A chaque fois les vendeuses nous demandent si c’est pour nos fiancées et bien sur nous répondons positivement.

Evidement nous ne pouvons pas les essayer mais j’ai hâte de rentrer à la maison pour sentir les différents tissus contre mon corps. Au totale nous avons acheté 5 pièces que nous nous partagerons. Une fois de retour dans son studio nous faisons un défilé, lui se change devant moi sans gêne alors que je continue à me cacher. Chez lui la bosse est énorme sous le tissu qui n’arrive pas à contenir toute sa queue alors que chez moi ou pourrait presque croire que je suis une fille tellement que le tissu reste plat.

Le soir venue à la boite j’ai mis une culotte en dentelle blanche sous ma petite jupe, ce soir j’ai 5 branlettes et un homme m’a sucé, résultat des courses 62 francs. Et le soir de retour au studio de Martin nous reprenons les caresses entre nous. Plus le temps passe plus je me sens à l’aise avec les clients, j’accepte de sucer et je les laisse me sucer par contre je refuse d’avaler leur foutre ou de me faire sodomiser.
Et évidement plus je fais de choses avec les clients plus je gagne de sous. Au bout d’une semaine je me retrouve avec quelques centaines de francs, je n’avais jamais eu autant d’argent de ma vie. Malheureusement le temps de la pause à Marseille touche à sa fin et nous allons devoir retourner à notre base pour être envoyé en Allemagne.

Nous sommes envoyés à Baden Baden, sur cette base ce n’est pas comme dans la précédente, nous sommes 50 hommes par baraquement et malheureusement je suis séparé de Martin. Régulièrement dans les toilettes ou les douches j’entends ou même je vois des mecs se caresser mutuellement mais jamais rien de plus. Par contre mes cauchemars de la nuit ont recommencé. Je n’ose rien dire de peur de me faire traiter de pd alors je me laisse faire. Des mains me tripotent les couilles, le sexe et même les fesses mais rien de plus à part les litres de spermes qui se déverse sur mon corps toutes les nuits.
Tous les matins on est réveillé par le même caporal chef qui dès qu’il ouvre la porte se met à crier 
« Debout le filles! »
et quand il s’approche de mon lit il respire fort avec le nez et rajoute
« Eh ben cette nuit, on s’est encore une fois bien amusé les filles »
Le sperme durci sur mon corps continue de sentir donc tous les matins je vais à la douche me rincer et régulier un de mes « camarades » de chambre vient me rejoindre pour que je m’occupe de son sexe.

De temps en temps je retrouve Martin sous les douches ou dans les toilettes. Je lui parle de mes malheurs et l’on se console en se tripotant ou en se suçant. Je du mal à continuer à se rythme, surtout qu’il me reste encore 9 mois à tenir. Heureusement que nous avons des permissions qui permettent de partir souffler, je les passe chez mes parents ou je descends à Marseille rejoindre Martin et reprendre nos soirées à deux ou au cabaret. Mais nous dépassons toujours pas le stade de la branlette et de la fellation.

6 mois avant la fin de mon service, mon sergent me surprend en train de pleurer mais ne dit rien par contre les deux nuits suivantes les autres de mon baraquement m’ont laissé tranquille.
Je n’ai pas mieux dormi parce que j’ai toujours peur d’avoir des visites nocturnes.
Le troisième jour en fin de journée je suis convoqué dans le bureau de mon sergent chef. On me fait rentrer, je me met au garde à vous alors que lui continue de lire son dossier. Au bout de quelques minutes il lève enfin le nez mais ne me fait pas m’assoir et me dit:
« Je sais ce qui se passe la nuit dans ton baraquement. »
Je ne dis rien mais j’ai les larmes qui montent alors il enchaine
« Mais il y a eu du changements ces dernières nuits, non? »
Toujours debout et droit comme un piquet je fais oui de la tête et il continue
« C’est grâce à moi, tu veux que ça continue? »
Apres un long moment d’hésitation je réponds en fin timidement
« Oui mon sergent chef »
Il enchaine
« Par contre ça a un prix! Viens ici! »

Je passe de l’autre côté de son bureau il fait tourner son fauteuil vers moi. Ses jambes sont bien écartées et les boutons de son pantalon totalement défait, sa bite, fièrement tendue, et ses couilles sont à l’air libre.

Je m’agenouille entre ses cuisses, je sais exactement ce qu’il attend de moi mais si ça me permet d’enfin passer des nuits tranquille je suis prêt à subir. Je caresse les couilles avec mes deux alors que ma langue remonte le long de sa tige. Il est moins long que Martin, j’arrive à l’avaler entièrement, mais beaucoup plus large mes lèvres tirent. Je fais coulisser sa queue entre mes lèvres et ma langue le titille. Je m’applique au maximum et j’exécute les conseils que m’a donné Martin. Ca fait son effet car en moins de 5 minutes il se répand dans ma bouche. Je n’ai pas envie d’avaler et ça n’a pas l’air de le déranger puisqu’il me tend la poubelle et un mouchoir. Il range son matériel et me dit que je peux disposer.

Effectivement cette nuit encore tout est tranquille mais le lendemain, mon caporal vient me chercher et m’amène jusqu’à la chambre du sergent chef. J’avais pas compris mais à partir de ce jour la, tous les soirs immédiatement après le diner je devais rejoindre mon sergent chef dans sa chambre et le sucer. Puis au bout de 2 semaines il m’a demandé d’être entièrement nu quand j’étais avec lui. Je m’exécute mais comme d’habitude je me cache autant que je peux.

Maintenant je prends un pied fou à caresser ses grosses boules poilues, à les lécher, les gober mais aussi à faire remonter ma langue le long de sa grande et grosse bite pour atteindre le bout.
Que j’aime le décalotté avec mes lèvres et je joue avec son gland avant de l’enfoncer un peu plus dans ma bouche pour enfin m’occuper de son frein et de ses veines.
Que j’aime entendre ses gémissements parce que je lui fais du bien et sentir son plaisir monter jusqu’à ce qu’il explose dans ma main ou dans ma bouche.
Mais j’aime aussi quand il me caresse le sexe et les couilles d’abord avec son pied mais aussi souvent avec sa main. Régulièrement il me fait éjaculer, il a même voulu me sucer mais je continue toujours à complexer de mon petit zizi surtout à côté de sa grosse queue.
Et qu’en plus de tout ça je passe enfin des nuits calment.
Il y a 2 choses que j’ai toujours refuser de faire c’est d’avaler son sperme et de le laisser me doigter ou me sodomiser. Par contre je ne saurai l’expliquer mais avec Martin j’aime avaler son jus, j’aimerai qu’il me doigte ou même qu’il me prenne mais temps que l’on est à l’armée on ne peut pas.

Mon service qui avait commencé de manière chaotique ne s’est pas trop mal fini malgré les sévices de mon sergent chef et les rires de mes camardes de douche et de chambre à propos de la taille de mon sexe. Mais maintenant je dois retourner à la vie civile, oublier Martin, aller travailler avec mes parents et créer mon propre chemin.
Je n’ai jamais revu Martin par contre je me suis de plus en plus rapproché de la nièce des voisins Adeline qui va me faire découvrir la soumission, mais ça c’est encore une autre histoire…

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